
Tourisme au niveau de la baie de Chetaïbi [933] |
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Posté le : 03/07/2008 à 11:29 (Lu 11190 fois) | De la première à la 8e place mondiale
Parce qu?on ne lui avait pas accordé l?importance qu?il fallait, la participation algérienne à l?opération marketing mondiale de classement et de reclassement des plus belles baies du monde a été un véritable fiasco.
De tous temps classée « la plus belle du monde » sur les 13 premières féeriques mondiales, la baie de Tekkouche, depuis la nuit des temps, Herbillon sous l?occupation française, et Chetaïbi après l?indépendance, ne l?est plus pour les membres de ce club. Ils s?étaient réunis il y a quelques mois à Paris. Le représentant du ministère du Tourisme, qui devait fournir d?autres arguments réactualisant les informations du CBM et vanter les mérites de cette merveille naturelle nichée dans les côtes algériennes, était absent. Il a préféré faire du shopping en faisant l?impasse sur la réunion, sa mission. Cela s?est passé au moment même où du côté du ministère du Tourisme, on parlait de réorganiser, de réglementer, de stimuler le secteur du tourisme et les investissements, et de multiplier les opérations de marketing à l?échelle nationale et internationale. Ainsi, la baie de Chetaïbi, incluse sur la liste du CBM en octobre 2005, en Turquie, n?intéresse pas les investisseurs étrangers. L?autre anomalie : au lieu du ministère du Tourisme, c?est une ressortissante algérienne établie à Paris qui a présenté et défendu avec brio la demande d?adhésion auprès du club. Ce dernier est très influent au sein des tours opérateurs et des opérateurs économiques du secteur touristique mondial. Cette ressortissante avait eu l?aval des élus de l?APC de Chetaïbi, commune enclavée à 68 km au sud-est d?Annaba. « Ce n?est que récemment que nous avons appris que notre baie, qui était la plus belle du monde, a été classée 8e sur les 13 meilleures baies de la planète », commente M. Ali Laref, vice-président de l?APC de Chetaïbi. C?est avec leurs propres moyens et leur seule volonté que les membres de cette APC ont élaboré le dossier à transmettre au CBM. La direction du tourisme d?Annaba s?en était saisie. « Bien que ce soit nous, les enfants de Chetaïbi, qui avions tout préparé, on ne nous a même pas informés des résultats de la réunion du CBM à Paris, à laquelle a participé le directeur du tourisme de la wilaya », regrette Sebti Amirat, un autre élu. Chetaïbi, avec ses quelque 10 000 habitants et ses deux baies est et ouest encore à l?état sauvage, attendra d?autres années pour se développer. Même si, pour son aménagement, l?Agence nationale de développement du tourisme (ANDT) a initié une étude pour en faire une Zone d?extension touristique (ZET). Initialement, le projet avait été confié à un bureau d?études italien pour finalement atterrir entre les mains d?experts du groupe espagnol ARMAQ. « Des experts italiens et espagnols, ainsi que des hommes d?affaires nationaux et étrangers, ont visité notre zone. Ils ont promis d?investir dès que les aménagements nécessaires auront été réalisés. Depuis, plus rien. Aucun signe n?indique que l?aménagement de cette ZET est pour demain », a affirmé M. Laref. Des promesses et des engagements ont été maintes fois réitérés à l?occasion des visites de travail de wilaya ou ministérielles. Ils portent sur le lancement de travaux de viabilisation et sur l?alimentation de la zone en électricité, eau et gaz. Plusieurs années après, la situation est au point zéro
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Re: NEWS [936] |
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Posté le : 07/07/2008 à 00:56 (Lu 11181 fois) | La commune de Chétaïbi : Un beau village dans l’isolement
La baie de Chétaïbi est un véritable don du ciel, et Chétaïbi le village est un merveilleux tatouage architectural épousant les traits de la nature, alliant la montagne à la mer. Quant à Chétaïbi la commune, pourtant en exercice depuis plus d’un siècle, elle est malheureusement, à cette heure encore, dans l’isolement total. Quoi de plus paradoxal donc que de découvrir que l’un des plus beaux villages d’Algérie et l’une des plus belles baies du monde appartiennent à l’une des plus pauvres et plus isolées communes, à savoir l’antique Tacatua.
Situé dans le prolongement des monts de l’Edough et construit sur le flanc d’une montagne pénétrant dans le golf de Takouch, à 70 km à l’ouest du chef-lieu de Annaba, ce site est un véritable tableau de maître. Ce paradis terrestre, à vocation touristique par excellence, est malheureusement, et après 48 ans d’indépendance, une zone enclavée où vit près d’un millier de personnes livrées à elles-mêmes. Vue de l’extérieur, la commune de Chétaïbi, autrefois Herbillon, est un petit éden. Vue de l’intérieur, elle incite à tirer la sonnette d’alarme. Chétaïbi, Takouch pour les conquérants arabes, mérite un meilleur sort. Pourtant, ce ne sont pas les projets qui manquent ici et là, un minimum aurait certainement permis de faire sortir cette commune de cet isolement qui par ailleurs en dit long sur la politique de développement local dans la wilaya. Les quelques promoteurs qui ont tenté d’investir dans ce créneau ont vite été découragés à cause de la situation sécuritaire dans la région, surtout durant cette dernière décennie, caractérisée par de nombreux actes terroristes perpétrés par la horde sanguinaire activant dans les monts de l’Edough. Ainsi, malgré toutes ses gigantesques potentialités naturelles, Chétaïbi ne profite de ces atouts que l’espace d’une saison : l’été. Là encore, beaucoup reste à faire. Les capacités d’accueil sont pratiquement inexistantes. Les nombreux vacanciers n’ont à leur disposition, en fait, que la location d’appartements, hors de prix d’ailleurs en période estivale.
Par B. Ahmed Ramy
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Re: NEWS [937] |
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Posté le : 07/07/2008 à 00:59 (Lu 11180 fois) | Le fait du jour : Explication du dispositif CNAC
L’agence régionale de la caisse nationale d’assurance chômage (Cnac) a entamé, ces derniers jours, un cycle de rencontres à travers les communes pour sensibiliser et expliquer son dispositif relatif à la création d’activités par les chômeurs promoteurs âgés de 35 à 50 ans par le biais de l’octroi de micro crédits. Ces rencontres sont axées sur la vulgarisation des conventions signées entre la Cnac, les présidents des APC et les chefs de daïras, dans le but de faciliter les campagnes d’explication des objectifs du dispositif, notamment dans les zones éparses implantées dans les communes de Chetaïbi, Berrahal et Aïn berda où il a été créé des bureaux d’orientation des chômeurs en vue de les informer des divers avantages qu’offre la Cnac en matière de soutien à la création de microentreprises. Ces rencontres représentent une bonne initiative, mais qui ne va certainement pas donner un nouvel élan à la dynamisation du dispositif de soutien de l’Etat à la Cnac, car la principale entrave se dressant devant les promoteurs chômeurs âgés entre 35 et 50 ans est à rechercher dans l’attitude négative des banques publiques lesquelles, dans la plupart des cas d’investissements proposés, refusent d’accompagner financièrement les demandeurs de crédits dans ce cadre. Cette question a été maintes fois soulevée dans des rencontres et réunions officielles sans pour autant trouver une solution. En dépit des appels lancés dans leur direction pour ouvrir « le robinet », et de l’existence d’un fonds de garantie créé par la Cnac elle-même, les banques ne veulent pas s’aventurer avec les dispositifs de soutien de l’Etat à l’emploi de crainte de porter préjudice aux deniers publics, et ce à cause des mauvais payeurs.
Par Tewfiq G.
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Edité le 07/07/2008 à 01:01 par le pauvre
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Re: NEWS [951] |
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Posté le : 13/07/2008 à 15:18 (Lu 11175 fois) | Rencontre nationale des P/APC la semaine prochaine
Le cycle de formation initié par le ministère de l'Intérieur et des Collectivités locales (MICL) au profit des 1 541 présidents d'assemblées populaires communales (P/APC) durant cinq semaines en alternance (mars-juin 2008) à travers huit centres de formation (Alger-Annaba-Tiaret-Ouargla-Médéa-Sétif-Batna et Oran), sera couronné par une rencontre nationale des P/APC prévue les 19, 20 et 21 juillet à Alger, apprend-on de source responsable auprès du MICL. Cette rencontre à "haut niveau", indique-t-on, réunira les 1 541 P/APC et les chefs de daïra ayant subi le cycle de formation. Elle sera présidée par le ministre d'Etat, ministre de l'Intérieur et des Collectivités locales, M. Noureddine Yazid Zerhouni. Par ailleurs, tout laisse à croire que la clôture de cette rencontre nationale des élus locaux sera faite par le président de la République, M. Abdelaziz Bouteflika. Il prononcera une allocution portant essentiellement sur la mission dévolue aux collectivités locales, les prérogatives des représentants du peuple. Le chef de l'Etat pourrait également annoncer à cette occasion la constance administrative du nouveau découpage territorial qu'il a mis en évidence le 5 juillet dernier dans le discours qu'il a prononcé au ministère de la Défense nationale (MDN).
Le président de la République aura très certainement à se prononcer sur la mise en oeuvre des actions d'appui à la bonne gouvernance y compris le développement local dans le processus de décentralisation, avec comme premiers responsables les élus locaux. Ce qui inclus le renforcement des capacités de gestion au niveau des communes tant l'approche définie le 5 juillet dernier par le chef de l'Etat s'appuie également sur l'implication des différents acteurs locaux, y compris les autorités locales, les formations politiques, le secteur privé et la société civile, dans le cadre d'une culture de partenariat fondée sur la synergie de leurs actions respectives dans l'insertion des jeunes et la prise en charge de leurs problèmes. Ce regain d'intérêt porté par le ministère de l'Intérieur à la gestion des communes est lié au démarrage d'une nouvelle période de modernisation de l'administration territoriale et du développement de la performance du maire en sa qualité de premier magistrat de la commune et de premier représentant de la population. La démarche de formation destinée aux P/APC et à certains chefs de daïra s'inscrit dans l'objectif de les accompagner dans l'acquisition de nouvelles connaissances liées à la conduite de la gestion locale particulièrement que le ministre d'Etat, ministre de l'Intérieur et des Collectivités locales, M. Zerhouni a relevé lors du lancement de ce cycle de formation, le constat d'un bilan positif dans la gestion des communes tant les élus locaux s'attellent pleinement à "prendre conscience" de leur responsabilité à l'égard des préoccupations et des besoins prioritaires des populations. Ces premiers signes d'un fort désir de changement à tous les niveaux dans la gestion des collectivités locales dans la continuité sont susceptibles de trouver de véritables solutions aux problèmes des communes à travers une démarche débouchant sur une plus grande prérogative qui sera accordée aux élus locaux afin de faire face aux défis de la mondialisation qui s'ouvre dans un monde en proie à des mutations profondes et que l'Algérie doit s'impliquer pour ne pas être en reste...Cet éclat manifeste de l'importance que revêt la commune, repose, selon les orientations de M. Zerhouni, sur un facteur nouveau dans une nouvelle stratégie de renouveau de la gestion et de la gouvernance locale et qui est déterminante pour atteindre le réalisme voulu. Le réalisme aujourd'hui, selon le ministre de l'Intérieur, c'est le constat de la transformation et des changements qui sont apportés grâce aux différentes réformes initiées par le président de la République, M. Abdelaziz Bouteflika. Il s'agit donc, d'une véritable redistribution des rôles et des missions entre l'administration déconcentrée et l'administration décentralisée qui s'opère désormais sur la base d'un nouvel équilibre qui couvre tous les domaines de la vie locale sous la houlette des élus locaux. Ce fait témoigne d'une méritoire évolution des gages de la continuité et l'amélioration sensible de la qualité du service public. La démarche de modernisation de l'administration du territoire, mise en œuvre par le ministère de l'Intérieur, met à contribution en priorité les élus locaux dont le rôle est de contribuer plus efficacement à l'évolution du bien-être de la population, d'ailleurs, un des objectifs du contenu pédagogique de la formation au profit des présidents d'exécutifs communaux. D'une manière générale, la rencontre nationale des 1 541 présidents d'APC prévue les 19, 20 et 21 juillet à Alger, sera organisée dans un esprit nouveau car il s'agira essentiellement, selon nos propres sources de "mettre effectivement en place un nouveau mode de gestion permettant à chaque commune d'élaborer ses propres justifications de développement sous forme d'une certaine planification stratégique en partenariat avec les citoyens et la société civile". La même source ajoute qu'il sera également question au cours de cette rencontre de plus de visibilité sur l'amendement du code communal, la réforme de la fiscalité et des finances locales, le statut de l'élu et d'autres mesures qui seront annoncées soit par le président de la République ou le ministre de l'Intérieur.
Ahmed Saber
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Re: NEWS [952] |
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Posté le : 13/07/2008 à 20:47 (Lu 11170 fois) | Allez,je vais mettre tous mes ouvrages de droit administratif algérien dans la cave .
Centralisation,décentralisation,déconcentration,.tutelle ,
contentieux et recours administratifs . Elections,urnes,volonté populaire,suffrage etc...........
Mais arrete vieil homme,arrete sinon tu vas tousser,tousser,tousser,l'air te manquera et tu mourras.
C'est peut etre là une planification,une stratégie pour se débarasser de vieil homme comme vous,moi
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Re: NEWS [984] |
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Posté le : 24/07/2008 à 01:39 (Lu 11152 fois) | Annaba. La santé s'enrichit à Chetaïbi
Totalement livré à l’abandon, l’hôpital 50 lits de Chetaïbi a fait l’objet d’une importante opération de réhabilitation. Outre la grande opération de rénovation de ses structures, une importante enveloppe financière a été engagée pour l’acquisition d’équipements médicaux et paramédicaux. De la table de radiographie à la développeuse, de l’appareil d’échographie à l’automate de biochimie pour les analyses et des automates hématologie aux spectrophotomètres et des 5 tables d’accouchement aux couveuses et tables chauffeuses, la DSP n’a pas fait dans la demi-mesure pour équiper la majorité de ses structures de santé dont 10 polycliniques et les 3 centres de toxicomanie à Boukhadra, Berrahal et Sidi Amar.
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Re: NEWS [985] |
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Posté le : 24/07/2008 à 14:27 (Lu 11146 fois) | Et oui mon fils ! ,si tu veux etre un "Homme" au lieu et place d'une demi portion d'homme alors pas dans la demi-mesure.
Nous lui souhaitons bien du courage.
Pour les gens de chétaibi,il est grand temps que leur hopital ressemble à un hopital,ils en ont bien besoin et ils méritent bien plus que cela.
A quand les postes de travail pour les gens du village ?
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Re: NEWS [1023] |
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Posté le : 01/09/2008 à 00:00 (Lu 11117 fois) | Bon Ramadan a tous les musulmans de ce forum.
... je souhaite un bon mois de ramadan a tous les musulmans et meme aux autres.
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Re: NEWS [1024] |
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Posté le : 01/09/2008 à 01:22 (Lu 11115 fois) | Culture : PREMIER FESTIVAL NATIONAL DES JEUNES ÉCRIVAINS ET POÈTES
À la recherche de jeunes talents
Le premier Festival national des jeunes écrivains d’expression arabe a pris son envol le dimanche 24 août à Annaba et Chetaïbi. Jusqu’au 27 août, date prévue pour la clôture, des dizaines de jeunes filles et garçons, encadrés par les membres de l’Union des écrivains algériens, se relayeront au micro pour apporter leur contribution à l’enrichissement de la littérature et la poésie arabes.
D’autres, regroupés en ateliers, auront pour mission d’approfondir la question ayant trait au développement de l’activité littéraire dans l’ensemble des wilayas du pays. La manifestation a été officiellement lancée par M. Mohamed Ghazi, wali de Annaba, au palais de la culture et des arts Mohamed- Boudiaf (Annaba). Outre celle des représentants de 25 wilayas du pays y compris dans les arts lyriques, ce festival national a également enregistré la participation du vice-président de l’Union des écrivains arabes. Aussitôt la cérémonie d’inauguration achevée, les festivaliers ont pris la route vers Chataïbi, à 70 km du chef-lieu de wilaya de Annaba. C’est dans cette commune récemment secouée par des incidents et vidée d’estivants, sous la contrainte des habitants, les organisateurs ont choisi d’installer leur campement. Le camp de toile Noor implanté sous des peupliers millénaires au lieudit La Fontaine romaine sert de planche de théâtre à cette masse d’hommes et de femmes venus présenter leurs œuvres littéraires et lyriques. Choix pertinent en ce sens que ce camp de toiles s’est avéré adapté à ce type de manifestation compte tenu de sa proximité avec la mer, la montagne et le maquis. Il a stimulé l’inspiration des poètes et écrivains participants. Mlle Fennouh Afaf, commissaire du festival, semble avoir bien pensé son organisation en décidant d’honorer de son vivant Chéribet Ahmed Chéribet, l’un des plus anciens et fidèles de la poésie arabe dans le pays. Un hommage qui se voulait à la mesure de cet homme qui, malgré sa maladie chronique, n’hésite pas à faire de longs déplacements à travers le pays et le monde arabe pour parler et expliquer la poésie arabe. Une organisation bien pensée aussi avec le choix du lieu du déroulement de la manifestation à Chetaïbi. C’est comme si Mlle Fennouh et M. Chagra Youcef, secrétaire général de l’Union des écrivains algériens, voulaient démentir l’image d’une agglomération de Chetaïbi vouée à l’insécurité. Pour confirmer aussi qu’avec sa plus belle baie du monde, ce village côtier, enclavé au piémont de l’Edough, est une source d’inspiration. Ce rendez-vous culturel national auquel ont tenu à prendre part des représentants de plusieurs région du Sud (Béchar, Adrar, El- Oued, Biskra…) se veut un tremplin pour les contacts et échanges d’expériences entre écrivains et poètes, entre enseignants universitaires et émules de la branche littéraire et surtout pour l’éclosion de jeunes talents. Ce dernier dimanche en soirée, le camp de toile Noor, que gère Abdelhak Benmarouf, lui-même artiste, a vibré jusque tard dans la nuit au rythme de la musique et des chansons. Les ateliers de formation mis en place lundi, deuxième journée, ont pour objectif l’élaboration d’un programme annuel d’action et la recherche des moyens à mettre en œuvre pour mettre les œuvres littéraires à la portée de tous.
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Re: NEWS [1046] |
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Posté le : 28/09/2008 à 00:39 (Lu 11084 fois) | Le poisson se raréfie à Chetaïbi
Ce n’est pas sitôt que les ports de pêche de Chetaïbi et Aïn Barbar verront le jour.
Telle a été la réaction de nombreux pêcheurs de ces deux régions côtières de la wilaya de Annaba à l’annonce faite par le wali de Annaba quant à la réalisation de ces deux infrastructures. Comme si cela ne suffisait pas, voilà que d’autres affirment que le poisson se fait rare dans leurs eaux qui, depuis la nuit des temps, faisait vivre près de 95 % de la population de Chetaïbi. Les 700 marins pêcheurs y activant sont unanimes, selon eux, pour des raisons inexplicables, il n’y a plus de poissons dans leur zone. « Depuis janvier dernier, nous rentrons avec des casiers vides. Pourtant, c’est une bonne période pour la pêche. C’est pratiquement notre ruine avec des crédits bancaires que nous ne sommes plus en mesure de rembourser faute de production », a estimé Abdellah Ghozaïli, membre de l’association El Moustakbel. Elle regroupe à Chetaïbi 150 marins-pêcheurs, une quinzaine de sardiniers et une centaine de petits métiers composent la flottille de cette commune chef-lieu de daïra de quelque 20 000 habitants. Classée zone de pêche très poissonneuse, Chetaïbi vit aujourd’hui avec les souvenirs des performances réalisées par le passé. Ces dernières années, les sardiniers et les petits métiers rentrent après plusieurs heures en mer, avec seulement quelques dizaines de casiers de poissons. Ils en faisaient jusqu’à 9000 avant l’an 2003. « Une enquête doit être déclenchée pour déterminer ce qui semble être un phénomène. Il est anormal que notre espace maritime, hier très poissonneux et apparemment non pollué, ne donne presque rien en termes de poissons. Est-ce un problème écologique ? », s’est interrogé Mohamed D., patron d’un sardinier. Il était entouré des 12 membres de l’équipage de son sardinier. Une situation que n’arrive pas à expliquer M. Amoura, directeur de la pêche et des ressources halieutiques de la wilaya de Annaba. « A aucun moment, nous n’avons été informés de cette situation. Même si elle s’avère réelle, le poisson est un produit biologique. Sa production dépend des aléas climatiques et de la nature. Il faut savoir qu’il y a des poissons migrateurs. La pêche nécessite beaucoup de technicité et des moyens performants. Les marins-pêcheurs le savent fort bien », a-t-il considéré tout en montrant un certain scepticisme quant à la raréfaction du poisson à Chetaïbi. Un scepticisme d’autant plus fort que les chiffres en hausse de la production en sa possession attestent du contraire. Il en est ainsi pour le 1er trimestre 2007 où la production a atteint 1533 t, soit une hausse de 10% comparativement à la même période de 2006. Cette dernière année était elle-même en hausse avec 9408 t, alors qu’elle était de 8322 t en 2005. D’autant plus également qu’en termes de production, Annaba est classée première à l’échelle régionale. La wilaya dispose d’une flottille composée de 441 unités, soit 36 chalutiers, 120 sardiniers, 280 petits métiers et 5 bateaux corailleurs. Tous ces moyens de production sont utilisés par un effectif navigant de 2910 agents inscrits maritimes. Toute l’activité est placée sous le contrôle des brigades mixtes (pêche/garde-côtes) dont la mission première est de lutter contre la pêche illicite. C’est ainsi que durant le 1er trimestre 2007, 14 infractions à la réglementation ont été relevées. Elles portent sur la pêche dans des zones interdites ou pêches de poissons de tailles non marchandes.
Par N. Benouaret
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Re: NEWS [1047] |
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Posté le : 28/09/2008 à 00:44 (Lu 11453 fois) | PSRE : 33 réalisations dans le secteur de la pêche
Un effort d’investissement a été consenti dans le secteur de la pêche, dans la perspective d’améliorer la production du poisson et d’exploiter les potentialités des ressources halieutiques qu’offre un littoral long de 80 km.
Ainsi, 33 sur 45 projets d’investissement retenus ont vu le jour dans la wilaya de Annaba au titre du programme de soutien à la relance économique (PSRE). Les 12 autres projets restants sont en cours de réalisation, selon le directeur de la pêche et des ressources halieutiques, Amoura Zaïd, qui a estimé que cet intérêt manifesté au secteur s’est traduit par une amélioration de la production durant le premier trimestre 2008, où il a été enregistré plus de 3 000 t de produits de la pêche, soit une hausse de 5% par rapport à la même période de l’année précédente. Par ailleurs, 80 autorisations pour l’acquisition de petites unités de pêche ont été octroyées au titre des dispositifs de soutien de l’État à l’emploi (Cnac, Angem et Ansej). Leurs titulaires, diplômés de l’école technique de pêche, ont bénéficié de crédits de financement de la part de la banque de l’agriculture et du développement rural (Badr), ajoutera A. Zaïd, précisant que ces petites unités de pêche activent sur les plages d’échouage de Sidi Salem, Seybouse et Chetaïbi. La flottille de pêche de la wilaya, dont l’essentiel est concentré dans les ports de pêche de Annaba et de Chetaïbi, compte 463 unités, dont 41 chalutiers, 125 sardiniers et 297 petits métiers pour 3 325 marins-pêcheurs. Trois (3) infractions à la législation, réglementant l’activité de la pêche, ont été constatées durant le premier trimestre 2008. Elles ont trait à la pêche dans les zones interdites et le non-respect de la taille du poisson destiné à la commercialisation.
Par T. G.
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Re: NEWS [1055] |
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Posté le : 09/10/2008 à 20:13 (Lu 11433 fois) | ÉMIGRATION CLANDESTINE
38 harraga interceptés à Annaba
Les gardes-côtes de la wilaya de Annaba ont intercepté, dans la nuit de lundi à mardi, un premier groupe de 18 candidats à l’émigration clandestine à bord d’une embarcation de fortune alors qu’ils tentaient de rejoindre la rive nord de la Méditerranée.
Ces harraga, âgés entre 18 et 34 ans, ont pris le départ la veille à partir de la côte ouest de Chetaïbi. Cependant, à 6 miles du lieu de départ, le moteur de l’embarcation est tombé en panne, les empêchant ainsi d’effectuer la traversée.
Essayant tant bien que mal de regagner le rivage de Chetaïbi, les harraga n’ont pu lutter contre le courant qui a fait dériver l’embarcation jusqu’à la zone maritime du port où ils ont été repérés par les gardes-côtes. L’alerte a été donnée et le déploiement du dispositif de sauvetage a été lancé, en collaboration avec les éléments de la Protection civile de Annaba.
Repêchés dans un état presque hypothermique, les 18 harraga dont 4 Algérois, ont reçu les premiers soins avant de regagner la terre ferme. Ils ont été présentés mardi devant le procureur de la République qui a ordonné la vérification de leur identité, de concert avec les services de l’état civil. Cette mesure intervient en exécution d’une nouvelle mesure dictée par le fait que les candidats à l’émigration clandestine ont souvent donné de fausses informations concernant leur identité.
Dans le même sillage, les gardes-cotes de Annaba ont intercepté, lors d’une opération de contrôle de routine, un second groupe composé de 20 harraga à bord de deux embarcations à environ 4 miles au large de Ras El Hamra dans la nuit de lundi à mardi, dont le départ a été opéré de la plage de Aïn Barbar. En toute vraisemblance, il semble que le feuilleton de l’émigration massive et clandestine a repris de plus belle. Toutefois, il convient de noter que les gardes-côtes de Annaba ont beaucoup de pain sur la planche, notamment les prochains jours.
Car, selon certaines informations en notre possession, ces harraga feraient partie d’un groupe de plus de 300 personnes, qui, profitant des bonnes conditions climatiques, prévoient de prendre le large, à partir des plages de Sidi Salem, Seybouse, El Chatt, Oued Bakrates, Aïn Barbar, Chetaïbi et El Kala à bord de 30 embarcations.
R.N
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Re: NEWS [1072] |
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Posté le : 18/10/2008 à 17:53 (Lu 11417 fois) | un certain moment sur ce forum quelqu'un a posté la photo de notre ami saddok le facteur ( l'homme qui ramène les nouvelles ). Je recherche cette photo je ne la retrouve plus , si quelqu'un peut me situer.
ou celui qui qui l'a posté la 1ère fois soit gentil pour la poster une 2ème fois.
merci d'avance mes amis
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Re: NEWS [1073] |
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Posté le : 18/10/2008 à 22:21 (Lu 11411 fois) | Voila , la photo de notre facteur Sadok , au passage je passe le grand Bonsoir Le grand Brave type, le brave home, le Brave pecheur
A bientôt Mon chef
Arak

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Re: NEWS [1083] |
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Posté le : 20/10/2008 à 23:40 (Lu 11391 fois) | Algérie - Développement du tourisme et des transports : Quel avenir pour les projets structurants ?
Les pouvoirs publics de la wilaya observent, depuis quelques mois, un silence total vis-à-vis du devenir de nombreux projets structurants, lesquels pourtant, s’ils venaient à être mis en œuvre, pourraient changer le paysage socio-économique de la wilaya. Il y a d’abord la réalisation d’un village touristique, programmée à Sidi Salem et confiée à un investisseur Emirati.
Ce projet a été présenté, rappelons-le, au président de la République lors de sa dernière visite de travail et d’inspection dans la wilaya. D’ailleurs, le premier magistrat du pays a conseillé à cet investisseur de penser, d’ores et déjà, à l’entretien et à la maintenance de son infrastructure touristique.
Le deuxième projet concerne la réalisation d’un tramway dont l’étude, élaborée par un bureau étranger, à la demande de l’entreprise Métro d’Alger, avait suscité des réserves concernant le tracé de ce moyen de transport, qui prévoit un passage par le cours de la Révolution et le siège de la wilaya.
L’ex-ministre des Transports, Mohamed Maghlaoui, avait estimé, lors d’une visite de travail et d’inspection, qu’un tramway qui ne passe pas à l’intérieur d’une ville n’aura aucun impact sur la vie urbaine. Là aussi, les choses sont restées au point de départ, et Annaba attend toujours une éventuelle relance de ce projet devant désengorger la circulation et rendre un grand service à la population de la ville et à celle de sa périphérie, qui éprouvent des difficultés à se déplacer d’un coin à un autre.
Le troisième projet, qui porte sur la construction d’une grande mosquée sur les hauteurs d’El Bouni, initiative émanant d’une association, est toujours en attente. Prévu en août prochain, le démarrage des travaux de réalisation de ce lieu de culte de grande dimension de par l’importance des structures et les équipements qu’il devra comporter, a été reporté à une date ultérieure. Mais, les promoteurs de ce projet promettent que le coup d’envoi de celui-ci se fera très bientôt.
D’autres projets, aussi importants les uns que les autres, sont également en attente de lancement. Il s’agit notamment de l’aménagement des entrées sud et ouest de la ville de Annaba, où l’on prévoit l’injection d’investissements dans la perspective de promouvoir le secteur des services et de rendre son attrait à la Coquette, qui a beaucoup perdu de son charme et de sa beauté.
Qu’en est-il également de la promotion de l’investissement dans les zones d’extension touristique (ZET) de Oued Bagrat, Chetaïbi, Sidi Salem et Aïn Achir, où les choses sont restées au stade de l’intention ? Les pouvoirs publics craignent-ils le détournement des ZET à d’autres fins autres que l’activité touristique, ou la dénaturation de ces sites ?
Tous ces projets nécessitent un suivi des pouvoirs publics et même des élus et des citoyens qui, par le truchement du mouvement associatif, peuvent exprimer leurs inquiétudes quant à leur aboutissement.
Synthèse de l'article - Equipe Algerie-Monde.com
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Re: NEWS [1250] |
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Posté le : 06/11/2008 à 21:36 (Lu 11374 fois) |
Forêts : Près d'une centaine d'infractions au code des forêts enregistrées à Annaba.
Près d'une centaine (90) de procès verbaux d'infraction aux dispositions du code des forêts ont été dressés, depuis le début de l'année, à l'encontre de braconniers qui exploitent sans autorisation les ressources forestières, a-t-on appris, mercredi, de la conservation des forêts.
Les P.V d'infraction, "communiqués à la justice", concernent des coupes illicites, l'exploitation du bois de forêts pour son utilisation dans la construction, des incendies volontaires et l'exploitation agricole sans autorisation de parcelles du domaine forestier, a précisé la même source.
Les pertes engendrées par ces actes sont estimées à 4 millions de dinars, a-t-on également souligné.
La wilaya de Annaba compte une superficie forestière estimée à 74.000 hectares,
composée essentiellement de chêne zen, de chêne-liège, de pin et de maquis, en plus de nombreuses espèces végétales pouvant être exploitées dans divers domaines de la transformation.
Cette wilaya produit près de 4.000 quintaux de liège, dont 3.000 quintaux dans les forêts de Séraïdi, de Chetaïbi et d'Oued el Anab, auxquels s'ajoutent 5.000 m3 de bois, dont 3.500 m3 destinés au secteur industriel.
La revalorisation des forêts de l'Edough et la rentabilisation du patrimoine forestier, notamment le bois et le liège, ont nécessité le lancement d'un programme de travaux forestiers prévoyant l'ouverture de pistes, l'aménagement et l'entretien de points d'eau, la régénération du chêne-liège, l'entretien des forêts et l'encouragement des activités agricoles forestières, notamment l'élevage et la production fruitière.
APS
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Re: NEWS [1314] |
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Posté le : 21/11/2008 à 00:36 (Lu 11364 fois) | Villeneuve. Le refus de visa pour Inès brise la vie de sa famille d'accueil

Henia et Jean ont l'autorité parentale sur Inès, 4 ans, qui vivait dans la rue en Algérie. Ils se battent pour la faire venir en France.
Heina et Jean aiment les enfants. Depuis plusieurs années, le couple est famille d'accueil pour le Secours catholique. Le souhait de cet homme et de cette femme qui ont une générosité hors norme c'est de donner du bonheur aux enfants. Un bonheur aujourd'hui assombri. Retour en arrière. En 2006, Henia revient en Algérie au bout de 45 ans pour se recueillir sur la tombe de son père. « Par une personne de ma famille, j'ai fait la connaissance d'une petite fille, Inès, âgée de 2 ans. Elle était livrée à elle-même, elle vivait dans la rue. Sa maman, sans domicile fixe, l'avait abandonnée. Je me suis prise d'affection pour Inès. Je l'ai prise sous mon aile, je l'ai habillée, je l'ai nourrie… Mais je voulais aller au-delà de cette aide ponctuelle. J'ai donc retrouvé la maman d'Inès. Le 16 décembre 2006, par devant notaire et en présence de deux témoins, nous avons signé une kalafa, acte de recueil où est signifié qu'Inès est officiellement à ma charge et à celle de mon époux », explique Heina. Avec Jean, elle entame les démarches pour obtenir un visa long séjour en France pour Inès. Ils réunissent tous les papiers demandés par le consulat général de France à Annaba, en Algérie : acte de naissance, autorisation de sortie du territoire, justificatifs d'hébergement et de ressources, formulaire de demande de visa… Tout cela prend du temps. Heina, q ui doit rentrer en France, s'occupe de trouver une nounou pour Inès. « C'est une grand-mère, Klija, qui garde Inès sept jours sur sept à son domicile. Je la rémunère. J'envoie aussi de l'argent pour habiller Inès, pour la nourrir, etc. ». Le dossier complet de demande de visa long séjour pour Inès est envoyé au consulat. Le 5 mai 2008, la réponse tombe. C'est le refus. Pour Henia et Jean, c'est l'incompréhension. « Regardez, dit Henia, les yeux plein de larmes, en tendant le courrier. C'est écrit : « En application de l'article 211-2 du code de l'entrée, du séjour des étrangers et du droit d'asile, les motifs de refus ne sont pas communiqués ». Je n'en dors plus, j'en suis malade. Dès que je ferme les yeux, je vois le visage d'Inès. Elle serait mieux ici, elle irait à l'école ».
maintien du refus
Mais Henia et Jean ne baissent pas les bras. Le 12 septembre, ils écrivent à la direction de l'immigration, sous-direction des visas, à Nantes, pour faire un recours hiérarchique contre le refus de visa. Ils conservent une lueur d'espoir. Un mois plus tard, la réponse arrive : le refus de visa est maintenu. Pour Henia et Jean, le monde s'écroule. « Qu'est-ce qu'on peut faire ? Nous sommes responsables d'Inès. Nous sommes sa famille. Et s'il lui arrive quelque chose là-bas ? ». Depuis, chaque jour qui passe sans Inès est une douleur pour le couple villeneuvois. Ils continuent à téléphoner trois fois par semaine à Inès et à sa nounou, ils continuent à envoyer des mandats pour qu'Inès ne manque de rien. « Mon épouse va la voir tous les six mois, des allers-retours qui la fatiguent. Et à chaque fois, la séparation est un déchirement. Nous ne comprenons pas pourquoi le visa long séjour est refusé, on a fourni tous les papiers demandés. Qu'est-ce qu'on nous reproche ? » se demande Jean. Avec Henia, ils ne veulent pas baisser les bras. Mais ne savent plus à quelles portes frapper pour qu'on les aide à faire venir Inès, un petit bout de chou, aujourd'hui âgée de 4 ans, qui a éclairé leur vie. J.F.
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Edité le 21/11/2008 à 01:16 par le pauvre
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Re: NEWS [1315] |
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Posté le : 21/11/2008 à 00:44 (Lu 11362 fois) | Personnellement je suis avec Le refus de visa pour Inès.
A suivre..........
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Re: NEWS [1335] |
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Posté le : 26/11/2008 à 18:43 (Lu 11348 fois) | Un port pour la pègre
En présence de M. Mohamed Ghazi, wali d’Annaba, qui les a réunis lundi dernier, les armateurs, patrons de pêche, investisseurs et membres de la Chambre des métiers de la pêche ont brisé la loi de l’omerta.
Une loi qui était de mise depuis plus d’une vingtaine d’années au port de la Grenouillère, poste terrestre frontalier où, selon les participants à cette réunion, tout s’achète et se vend, y compris les femmes et les boissons alcoolisées, sauf le poisson et les produits de carénage. Les dénonciations sont d’une extrême gravité, en ce sens qu’elles portent sur un aspect intéressant non seulement le socio-économique et le sanitaire, mais également l’intégrité territoriale de notre pays. «La sécurité au port de pêche d’Annaba est totalement inexistante. Les préposés à cette mission donnent l’impression de vivre dans un centre de repos. Des personnes n’ayant rien à voir avec les métiers de la mer y commercent librement, vendant des produits interdits sans que nul intervienne. Ils viennent en bateaux, organisent des orgies, tabassent quiconque ose s’opposer à leurs faits et gestes et repartent en toute impunité. Nous avons, à maintes reprises, alerté les autorités portuaires, vainement», dira un armateur. Ses propos ont été repris par plusieurs de ses homologues et les élus de la Chambre des métiers de la pêche. Lors de cette rencontre, les difficultés matérielles inscrites à l’ordre du jour, tels les équipements des embarcations, la réalisation d’un nouveau port de pêche (ceux de la Grenouillère et de Chetaïbi étant saturés), l’accostage, la pêche illicite… sont passées au second plan. Les propos avancés sont l’expression d’un ras-le-bol difficilement contenu depuis des années. Ce sont ceux-là même dont se sont fait l’écho, ces dernières années, différents titres de la presse locale et nationale. En présence de représentants des autorités portuaires, police, gardes-côtes, douanes et gestionnaires des ports, les gens de la mer d’Annaba ont réitéré leur appel de détresse. Ils l’ont fait, non seulement pour sauver ce qui peut l’être d’une activité de la pêche en déperdition, mais aussi par patriotisme. «Seul un miracle a fait qu’il n’y ait pas eu d’attentat dans notre wilaya ces dernières années. Tous les trafics, y compris de drogue et de blanches, s’opèrent au vu et su de tout le monde au port de la Grenouillère, livré à la pègre et à la mafia locale, nationale et internationale», martèleront, tour à tour, les armateurs et patrons de pêche. Dans cette infrastructure où récemment il y a eu mort d’hommes, les sabres, épées, couteaux de boucher, gourdins et autres armes prohibées ont remplacé les filets, les casiers et les pièces de carénage. Les truands et les trafiquants font et imposent leur loi. Sans peur ni reproche, les participants n’ont pas hésité à mettre en accusation les responsables des différents services de sécurité du port. «Il y a eu récemment mort d’homme sur le port. Ils n’ont pas répondu à notre appel au secours, lancé bien avant que survienne le drame. Ils ne l’ont également pas fait lorsque des sabres, des épées et des couteaux de boucher ont été tirés pour agresser les armateurs et les pêcheurs. Toute cette situation a été portée à la connaissance de la police du port en vain», ont ajouté les présents. Et, lorsque ces accusations sont lancées devant le principal responsable de la police maritime, celui des gardes-côtes, de la douane et de beaucoup d’autres décideurs, il y a lieu de s’inquiéter quant à la gestion de cette infrastructure, frontière terrestre avec le monde extérieur. A la présence régulière, continuelle et perturbatrice d’une activité stratégique comme la pêche, s’ajoute la présence des bandes de délinquants et celle des trafiquants de tous genres. Sur ce port et sous les yeux des services de sécurité, le trafic de drogue, armes, de blanches, de devises… est un quotidien que vivent les principaux animateurs du monde de la pêche. Ils l’ont dit et répété. Hier facteur incontournable de développement socioéconomique de toute la région, le port de la Grenouillère se meurt, faute de sécurité. Plus aucun armateur ou opérateur économique n’ose s’y aventurer sous peine d’être agressé. Faute de contrôle par les gardescôtes, les rares zones poissonneuses, y compris celles du littoral annabi, sont systématiquement pillées. La pollution des fonds marins s’est transformée en banalité, tant et si bien que les filets ne «pêchent» plus que des tas de ferraille et autres ordures, jetés par les bateaux en rade ou les chalutiers. L’inexistence de stations de carburant, sleep-way, roulève, l’isolement prémédité et à dessein de l’Entreprise publique économique de construction et de réparation navale (Ecorep), la nécessité de démolir le mur de «Berlin», l’abandon total qui caractérise le port de Chetaïbi, l’équivalent de plus de quatre milliards d’équipements livrés aux intempéries sur le quai Babayou de la Grenouillère, sont d’autres problèmes soulevés lors de cette réunion. Comme cela est devenu coutumier, le wali a aussitôt décidé de prendre les premières mesures. En attendant la réalisation d’un nouveau port de pêche, inscrit au programme du ministère compétent en la matière, le directeur de l’exécutif a décidé la démolition du mur de «Berlin», le renforcement des moyens de contrôle au poste de police, la descente de police 24 h sur 24 sur le port, la réalisation d’un abattoir à Zaouia (Chetaïbi) et de cases pour les pêcheurs, la réactivation des deux stations d’approvisionnement en carburants et lubrifiants des embarcations. Les mêmes engagements avaient été pris par les prédécesseurs de l’actuel wali. Ils n’ont pas été tenus à ce jour. En sera-t-il autrement après cette rencontre ?
A. Djabali
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Re: NEWS |
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Posté le : 06/12/2008 à 15:58 (Lu 11333 fois) |
La poète du monde Salwa ben Rhouma* EN ALGERIE.

ALGERIE: Salwa ben Rhouma la poète Tunisienne revient de ENNABA de l'ALGERIE ou elle à assisté à l'ouverture du 'festival des écritures de la jeunesse' du 24 au 27 aout . elle a découvrit par ailleurs la beauté de ces régions et l'amour de ses hommes confié à la poesie . salwa a lu son poeme' dans un café' d'ou ils ont aimé sa poesie et son ame .elle a été aceuillie aussi par la television qui a enregistré ce festival, la radio et les journeaux algeriens,
puis elle est revenue à son pays, la Tunisie, plein de souvenirs et d'amitié.
الشاعرة التونسية سلوى بن رحومة في سماء الجزائر
حضرت الشاعرة سلوى بن رحومة بدعوة اتحاد الكتاب الجزائريين فعاليات افتتاح الملتقى الاول لادب الشباب بشاطيبي عنابة /الجزائر الذي امتدت فعالياته بين 24و27 من شهر اوت 2008
والذي انتظم تحت اشراف السيدة وزيرة الثقافة بالجزائر والسيد والي عنابة والذي حضره عديد المثقفين والشعراء والصحفيين الجزائريين وقد تم تغطية الدورة من قبل التفزة الجزائرية باعتبارها من بين الداعيم لهذا الملتقى وفقد حضيت الشاعرة بعديد اتلحوارات الاذاعية والصحفية الى اجانب اللقاءات التي جمعتها بعديد المثقيفن هناك من بنهم الاستاذ نورالدين طابيبي والشاعر والاذاعي المعروف بوزيد حرز الله الى غيرهم من الوجوه الجزائرية الثاقفية امعروفة
وقد عبرت الشاعرة عن انبهارها بالطبيعة الجميلة التي حبى الله بها الجزائر وخاصة شطايبي
وهي تتمنى ان تعيد الزيارة من اجل الشعر وملهمة الشعر الطبيهة ..
صالح السويسي
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Que reste-t-il à te prouver?
Y'a-t-il encore quelques frontières que je n'aurais pas dépassées?
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