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Posté le : 23/12/2008 à 14:07 (Lu 1063 fois) | Bonjour notre brave type, vous etes l’image de notre village Monsieur le pauvre, j’été comme toi pauvre, maintenant HAMDOULILAH, tu aime votre village Monsieur le pauvre, donc tu doit souffrir, guérir, pour cette sentiment sage et propre, voici une belle poème pour toi et pour imed il souffre lui aussi, c’été en 5eme année primaire :
Un pauvre Bûcheron tout couvert de ramée,
Sous le faix du fagot aussi bien que des ans
Gémissant et courbé marchait à pas pesants,
Et tâchait de gagner sa chaumine enfumée.
Enfin, n’en pouvant plus d’effort et de douleur,
Il met bas son fagot, il songe à son malheur.
Quel plaisir a-t-il eu depuis qu’il est au monde ?
En est-il un plus pauvre en la machine ronde ?
Point de pain quelquefois, et jamais de repos.
Sa femme, ses enfants, les soldats, les impôts,
Le créancier, et la corvée
Lui font d’un malheureux la peinture achevée.
Il appelle la mort, elle vient sans tarder,
Lui demande ce qu’il faut faire
C’est, dit-il, afin de m’aider
A recharger ce bois ; tu ne tarderas guère.
Le trépas vient tout guérir ;
Mais ne bougeons d’où nous sommes.
Plutôt souffrir que mourir,
C’est la devise des hommes.
Oui notre brave type le pauvre, souffrir que mourir, c’est la devise des Takouchés, en vous aime
| -------------------------------- Qu'est-ce que je pourrais bien faire après tout ça?
Que reste-t-il à te prouver?
Y'a-t-il encore quelques frontières que je n'aurais pas dépassées?
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